L’enseignement des holocaustes est une exception très française, même la Pologne et la Russie préfèrent mettre en avant les périodes positives de leur histoire.
Commémorer ne rendra pas la vie aux victimes, et la spécificité du nazisme (ainsi que du communisme, dont il est la continuité) s’inscrit dans la lignée de la franc-maçonnerie germanique (les races etc.). C’est donc aux allemands de s’interroger sur leur passé.