@Alren
Tout cela est juste, effectivement.
Est-ce vraiment
nécessaire au peuple français de disposer de bases aéronavales si
l’on a ni l’intention ni les moyens de faire une guerre dans ces
régions éloignées ?
/Nous serons contraints d’agir, que nous ayons ou non l’intention de le faire.Il nous faudra rapidement nous doter des moyens nécessaires et utiles.
La "grandeur de
la France" est plutôt et sera toujours son riche patrimoine que
ce soit en matière de philosophie politique (Déclaration des droits
de l’homme entre autres), de littérature appuyée sur une langue
exceptionnellement riche et précise, ses arts et artistes, ses
bâtiments de prestige etc.
/ Il va nous falloir développer de très sérieux efforts pour retrouver un niveau qui s’est sérieusement dégradé dans tous ces domaines que vous évoquez. Le paysage est à mon avis assez dévasté et le naufrage de la langue plus qu’avancé. Lisez les journaux, écoutez les émissions culturelles, les bulletins radiophoniques et soyez attentifs aux fautes de syntaxe, de grammaire, d’orthographe. Vonsidérez la pauvreté du vocabulaire utilisé.
/Et actuellement ce
mouvement populaire qui remet notre pays au centre du débat d’idées
sur la société aux yeux du monde entier.
Je vous approuve entièrement.Un mouvement est lancé, une lame de fond est en train de surgir, une tectonique s’est libérée. Ils ne s’arrêteront plus, malgré les combats d’arrière-garde des tenants d’un ordre et d’une pensée révolus.
Outre l’injustice fiscale, la fraude fiscale, et comme vous le dénoncez
justement ces largesses envers des populations qui n’ont pas du tout
notre idéal de citoyenneté, ce qui nous coûte cher ce sont les énormes
sommes que les travailleurs immigrés envoient à leurs familles
lointaines et qui comme les bénéfices des ultra-riches assèchent le
circuit économique en ne participant pas à la consommation intérieure.
/Quelques individus ont notre idéal de citoyenneté. Ils l’ont amplement prouvé, parfois au péril de leur vie.
Les sommes gagnées par les travailleurs immigrés sont méritées. Ces « remises » bénéficient aux familles restées au pays.
Mais contrairement à ce que l’on peut penser ou croire, elles participent à la consommation intérieure de nos pays avant que de repartir. Complexes, difficiles à cerner en apparence, ces flux sont désormais clairement déterminés et tout le monde y trouve son avantage et son intérêt.
Les « Transferts de fonds des migrants » renvoient à la somme des « rémunérations des salariés », des « transferts des travailleurs », et d’autres « transferts courants dans d’autres secteurs » ; les « flux officiels » incluent les transferts gouvernementaux généraux, aussi bien courants que de capitaux.Source :FMI,Annuaire statistique de la balance des paiements, différentes éditions ; dont Statlink :http://dx.doi.org/10.1787/600364675513
cf. docs plus récents à compléter.
Cordialement,
Renaud Bouchard