Vu la nature « non négociable » des merveilleuses réformes déjà réalisées par le team Macron, il y a une autre excellente raison d’accrocher un panneau « piège à cons » sur cette tentative d’embrouille.
Par ailleurs, voici une jolie phrase :
« Dans la lettre que je m’apprête à écrire aux Français, j’expliquerai ce que je compte faire »
Trois fois « je » dans une phrase de vingt mots, ça confirme l’hypertrophie du sens de l’écoute chez son auteur, un certain manu, qui a failli être président.