Comme tous les grands écrivains engagés dans les états totalitaires, Soral passera donc par la case prison. Uniquement parce qu’il a trop parlé au pays des « droits de l’homme »... Cherchez le paradoxe !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.