Bonsoir, Paul Leleu
Tout n’est pas à jeter à l’UPR : malgré la lubie du Frexit, il y a même quelques bonnes idées.
Hélas ! tant que ce parti sera dirigé par Asselineau, si technocrate et si soporifique, l’UPR ne pourra pas espérer grand chose. Et c’est pourquoi, dans la foulée des précédents scrutins, le parti d’Asselineau reste scotché en vue des Européennes à un score dérisoire qui oscille entre 0,5 et 1 %.
Cela fait des années que je dis cela aux militants.