Au Vénézuéla, comme en France pour incarcérer un parlementaire, il faut avoir des « biscuits », sinon c’est contre productif. Mais depuis samedi Gaido ne pèse plus que son poids... « l’aide humanitaire » c’est sans doute du passé. La preuve est faite que ce n’est pas les vénézuéliens qui ont détruit les camions (dixit Pedro) sur le territoire colombien.Mais on va sans doute chercher un autre angle d’attaque...