Cet article n’est point nul à chier : il est même hautement délectable (de banquet).
J’ai souvent pensé à ce qu’il adviendrait du rayon PQ des supermarchés si mes congénères et moi parvenions à faire comme mes chats qui, bien qu’ils se lèchent consciencieusement le trou de balle, ne sont jamais malades. Je ne sais pas si les contorsionnistes chinois ont essayé. Ils pratiquent un sport qui s’appelle le jmechidsu.