De la mère d’un « mort collatéral »
"Sa responsabilité n’est pas engagée dans l’accident. Sous les
articles relatant sa mort, des commentaires de Gilets jaunes ont
pourtant insinué qu’il avait dû boire, ou envoyer des SMS au volant.
Jamais je n’ai eu droit au moindre mot de compassion. Ni remord, ni
prise de conscience. Ils se dédouanent des conséquences de leurs actes.
Leur responsabilité est diluée.
[...] Ils se plaignent
de la violence policière mais n’assument jamais la leur."