@rosemar
Une Intelligence
Artificielle totalement dénuée de sentiments dirait, dans une
perspective eugénique d’amélioration de l’espèce humaine, qu’il
est dommage que Michel Onfray, dont on ne peut nier l’intelligence
supérieure, n’ait pas d’enfants alors que de parfaits imbéciles
(qui votent Macron en étant pauvres, par exemple !) se multiplient
sans se poser de questions !
On a constaté une
baisse aux résultats des tests de QI (qui ne meurent qu’un aspect de
l’intelligence) et l’on se demande ce qui en est la cause.
Elle pourrait être
dans les lignes ci-dessus.
J’ai longtemps
soutenu la thèse que « l’intelligence » dépendait
essentiellement du milieu éducatif global et que l’hérédité
jouait un rôle mineur.
Mais des travaux
récents ont montré qu’un cerveau fonctionnait d’autant mieux qu’il
y avait de nombreuses liaisons en la zone préfrontale et d’autres
zones éloignées dont le gyrus qui joue un grand rôle dans la
mémoire.
Il semble que le
cerveau d’Albert Einstein jouissait de ces nombreuses connexions.
Or le développement
de l’encéphale est forcément dépendant de l’ADN donné par les
parents, quel que soit l’environnement.
Si l’on a longtemps
encouragé les naissances en France, c’était pour avoir une armée
forte car nombreuse, constituée à l’époque essentiellement de
fantassins et d’un main d’œuvre abondante pour travailler dans des
usines, des ateliers ou des exploitations agricoles peu mécanisées
et pas du tout automatisées.
Ces exigences sont
obsolètes aujourd’hui. Donc il faudrait cesser d’encourager le
natalisme par des mesures dissuasives après le deuxième enfant.
Mais cela soulèverait un tollé, le « droit à l’enfant »
étant considéré comme un droit humain primordial.
On ne peut donc
qu’espérer que les couples soient raisonnables et limitent le nombre
de leurs descendants pour que ceux-ci reçoivent davantage.
Mais ne nous faisons
pas d’illusions : la croissance insupportable à terme de la
population mondiale est le fait des familles les plus défavorisées
de la planète. En Afrique, avoir de nombreux enfants fait encore la
fierté de femmes sans éducation.
Et les religions
auxquelles ces défavorisés se soumettent, sont toujours bêtement
natalistes, ce qui était une nécessité quand elles ont été
conçues dans l’Antiquité ou le Haut Moyen âge, mais n’a plus
d’intérêt aujourd’hui.