Bonjour, Cadoudal
Ce n’est pas le nombre des mosquées qui prose problème — il est normal que les musulmans puissent disposer de leurs lieux de culte — mais la manière dont elles sont gérées. Surtout lorsque, et c’est trop souvent le cas, elles donnent la parole à des imams fondamentalistes qui encouragent de facto le repli communautaire, parfois avec la complicité de municipalités dévoyées par une approche clientéliste électorale de leurs collectivités.