L’article pose parfaitement la question du caractère totalement disproportionné de ces rémunérations -quel que soit le « service » rendu aux actionnaires, car c’est souvent à coup de plans sociaux et délocalisations-. Ce qui choque c’est l’explosion par rapport aux années 90 citées en référence : passer de 30 à 300 fois le salaire minimum. Le taux maximum d’imposition sur les revenus salariaux a un peu baissé, celui sur les revenus du capital a considérablement diminué avec la flat tax.