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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 26 avril 2019 22:50

Mystérieux éclats lumineux. Torche thermique, signature électromagnétique ? Ce qu’a « vu » et enregistré le système Surview qui filme Paris.Fantômas. Quasimodo sur les toits de Notre-Dame ?

Merci aux lecteurs de voter pour la publication de cet article censurée depuis plusieurs jours et qui offre une toute autre hypothèse à l’explication « officielle » de l’incendie de Notre-Dame. Pas de « complotisme » mais des faits, relatés, rapportés, disponibles, qu’il suffit d’agencer pour se poser la « bonne question » et entrevoir sinon la « bonne réponse », une explication que l’on ne saurait écarter sans l’avoir vérifiée. Lisez et jugez vous mêmes.

« Allongeant son ombre immense
Sur le monde et sur Paris,
Quel est ce spectre aux yeux gris
Qui surgit dans le silence ?
Fantômas, serait-ce toi
Qui te dresses sur les toits ? »

Robert Desnos, Complainte de Fantômas, Fortunes, (1933-1942)

« Ça se remarque bien comment que ça brûle un village, même à vingt kilomètres. C’était gai. Un petit hameau de rien du tout qu’on n’apercevait même pas pendant la journée, au fond d’une moche petite campagne, eh bien, on n’a pas idée la nuit, quand il brûle, de l’effet qu’il peut faire ! On dirait Notre-Dame ! Ça dure bien toute une nuit à brûler un village, même un petit, à la fin on dirait une fleur énorme, puis, rien qu’un bouton, puis plus rien. Ça fume et alors c’est le matin. »

Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Denoël & Steele (1932).

 

 

A la recherche des explications qui pourraient offrir une piste sérieuse pour déterminer les causes de l’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris, tout surgit, du plus incongru au plus inattendu.

Surview, Argus aux Mille yeux a « vu » quelque chose : une empreinte électromagnétique qui vient compléter l’explication donnée à la nature des éclats mystérieux enregistrés sur les toits de la cathédrale.

La position adoptée par les autorités officielles à propos des hypothèses formulées quant aux causes ou à la cause de l’incendie de la Cathédrale N-D de Paris devient chaque jour plus intenable, ou à tout le moins discutable, devant les interrogations issues de l’observation d’éléments qui devraient désormais privilégier le facteur humain avec sa double dimension, volontaire ou non, plus que l’hypothèse exclusive de toute autre de l’accident imputable aux explications-valises à base de « court-circuit », de « points chauds », de « source de chaleur oubliée » etc.

Comme l’écrit Yves Mamou : " Nul ne connait l’origine de l’incendie. Mais la faute judiciaire a été de borner l’enquête à la seule recherche d’une ou des causes accidentelles ; tandis que la faute politique a été de renoncer a priori à l’acte de malveillance (criminelle ou terroriste). Un renoncement pour le moins étrange quand chacun sait que Notre-Dame est depuis toujours une cible pour terroristes islamistes et qu’une tentative d’attentat a déjà été déjouée.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/bonbonnes-de-gaz-pres-de-notre-dame-cinq-femmes-djihadistes-renvoyees-aux-assises-10-09-2018-7883418.php

Ce renoncement à l’ennemi – le vandale ou le terroriste – est d’autant plus suspect que les violences contre les lieux de culte catholiques augmentent d’année en année. L’incendie de Saint Sulpice, le saccage de Notre-Dame de Lavaur, la destruction d’un vitrail dans la basilique de Saint-Denis n’étaient pas des accidents."

https://www.causeur.fr/macron-hollande-notre-dame-charlie-2-160893?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=5835792870-Newsletter_4_fevrier_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-5835792870-57275213

S’il est toujours possible d’imaginer l’intervention du « facteur pas-de-chance », celui-ci se révèle in fine un peu court en matière d’explication recevable et fondée dans la mesure où il semblerait que l’on dispose désormais d’éléments qui méritent d’être sérieusement étudiés, ce que l’on souhaite ardemment, sans jeu de mots.Les mégots de cigarette qui auraient été « retrouvés » sont du même ordre que les cartes d’identité et passeports retrouvés sur les lieux d’attentats ; des foutaises absolues dont la simple mention est une insulte à l’intelligence.

Le lecteur pressé pourra se diriger directement à la rubrique III du présent billet et constater qu’il n’est pas exclu que la ligne imposée à l’enquête initiale puisse être remise en cause de manière inattendue, hypothèse qui sous-tend les lignes qui suivent afin, précisément, d’ouvrir le débat sur un événement cardinal qui marquera, qu’on le veuille ou non, l’histoire de France.

Notre-Dame n’a pas brûlé : Notre-Dame a probablement été incendiée.

Première partie. Lire la suite...


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