Bonjour, Michel DROUET
Excellents commentaires.
On est là sur un cas typique d’acharnement thérapeutique sur une personne en état végétatif et atteinte de lésions irréversibles.
Maintenir cette personne en vie artificielle n’a strictement aucun sens. Et c’est ce qu’ont compris belle lurette son épouse et les membres de sa famille, exception fait de la mère — le père suit son épouse — dont la position, uniquement dictée par une lecture intégriste des textes religieux, relève paradoxalement d’un terrible manque de compassion.