@Renaud Bouchard
Je vous remercie de développer un lien motivé vers mon travail d’écriture.
Pour ma part — mais cela tient aux possibilités d’analyse que recèlent, pour moi, ces instruments-là -, je place la volonté politique dans les rapports de classe, et donc dans les phénomènes de conscience de classe.
On ne peut pas dire que les classes laborieuses françaises soient, pour l’instant, spécialement à l’aise dans cette problématique-là, intoxiquées qu’elles sont tout particulièrement par la légende gaullienne...
Pour le reste, je souscris à ce que vous écrivez : il n’y a aucune fatalité à la pauvreté... Par contre, poursuivre dans la ligne d’abandon de toute grandeur humaine qui est celle de la France depuis la livraison de Jean Moulin à Klaus Barbie, pourrait bien — et à court terme — nous être fatal.