L’Assemblée Générale de l’ONU, ses diverses commissions, sont régies par la règle « 1 pays — 1 voix ».
Or, malheureusement, notre planète compte davantage de pays sous-développés, de dictatures, de contrées gangrénées par une religion totalitaire, que de démocraties.
C’est la raison pour laquelle les odeurs qui émanent de l’ONU sont souvent nauséabondes.