C’est un génocide réalisé par le régime le plus barbare de la planète et promu par un pays en voie de fascisation avancée dirigé par un psychopathe.
Si aujourd’hui des journalistes risquent la prison pour dire la vérité, demain de hauts dirigeants pourraient passer devant un tribunal international sur des crimes de guerre qu’ils ont commis ou aidé à commettre.