Bis ^^
Le capital est plus qu’heureux d’intégrer le mouvement
[environnemental] grand public en tant que partenaire de sa gestion de
la nature. Les grands groupes environnementaux lui offrent un triple
service : de légitimation, en rappelant au monde que le système
fonctionne ; de contrôle de la désobéissance populaire, en agissant en
tant qu’éponge qui aspire et restreint l’anxiété écologique de la
population ; et de rationalisation, en tant qu’administrateur utile afin
d’introduire un certain degré de contrôle et de protéger le système de
ses pires tendances, tout en garantissant la continuation des profits –
Joe Kovel, 2002.
Citation tirée d’un très bon article de Mickael Barker, traduit par Nicolas Casaux :
Comment les riches ont façonné et neutralisé le mouvement écologiste grand public