• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


taktak 14 juin 2019 18:21

@Sparker

alut, bon je vais essayer de m’y coller, touts les papys-trolls ne sont pas encore passés, je leur fournirais donc un peu de croquettes des fois qu’ils seraient en manque.

« L’UE on la change ou on la quitte » tout le monde à compris que « la quitte » à été relégué pour rassembler d’autres formations pour lesquelles l’idée de quitter l’UE ne se pose pas et ne doit pas se poser.

Effectivement courrir derrière EELV et le PS n’a eu qu’un effet, faire fuire les électeurs de LFI vers l’absention pou leur grande majorité, et pour les quelques bobos, vers PS et EELV. avec le résultat désastreux que chacun constate (sauf les dirigeant de LFI qui n’ont pas encore été débarqué)

Dans le fond à la FI la question ne se pose pas non plus, l’accent est sur le plan A car ce que veut la FI est une UE sociale (pour faire vite) et non pas un retour à la dimension nationale. Alors quoi qu’il en soit, il aurait fallu une situation d’une extrême tension, voir violente pour la quitter.

Ben si, elle se pose à la LFI, et sauf à dire que Mélenchon a menti durant toute la campagne des présidentielles, le programme c’était bien on la change ou on la quitte. La fin de campagne se faisant timide sur le on la quitte a d’ailleurs sans doute couter l’élan populaire qui aurait permis de battre Le Pen.

Ce qui ne veut pas dire que dans le cadre de cette UE un combat fait de désobéissance, de boycott n’aurait pas lieu et la FI à dans son adn le rapport de force comme mode de progression. Ceux qui veulent voir par là une démission de la FI ont soit la vue courte soit de mauvaise intentions à son égard.

On se souvient juste de ce qu’on fait le PS, et autre Syriza... Pas de procès d’intention, juste constat et expérience.

De plus l’essentiel pour la FI est, bien sur, son programme car avant tout autre considération c’est la vie de la population française qui est en jeu et nécessite le premier combat, que ça ai des répercutions sur notre rapport à l’UE serait quasiment sur mais c’est un peu l’effet secondaire recherché

Dans l’AEC, le plan B est explicite, c’est à dire la sortie de l’UE si elle interdit la réalisation du programme, or, si on lit les traités, on voit que l’UE est incompatible avec l’AEC. CQFD, le frexit est un impératif.

. Et dans ce combat pour une certaine forme de souveraineté d’autres pourraient suivre car l’UE fonctionne sur le « qui ne dit mot, consent » alors beaucoup ne disent mot n’ayant pas la force de pouvoir le faire, les cacahuètes sont pour tous.

Observez que si la France sort de l’UE, il n’y a plus d’UE. Ce serait d’autant plus facile pour « les autres » intéressés par une coopération internationale sociale de construire rapidement des alliances internationales, A l’opposé de cette UE et cette euro dont l’objet est de les interdire

L’UE n’est « qu’un » combat de deuxième ordre, d’abord c’est le pays et le capitalisme financier qui l’étreint qui doit se combattre et ensuite les extensions. Mais on va me dire que tout est lié etc etc, oui on sait mais la privation d’ADP c’est pas l’UE qui l’a réclame. Alors là aussi faut pas se la raconter. Des combats interieur sont à mener et la FI en fait son premier cap, se cacher derrière l’UE n’est pas une bonne solution non plus.

Désolé mais vous vous trompez : la privatisation de ADP c’est le résultat direct et de l’euro austérité à travers l’indépendance de la BCE saignant le budget de l’Etat, et des directives européennes sur la libéralisation du ciel européen qui ont déjà imposé la privatisation de Air France et du principe de « concurrence libre et non faussé » qui impose la libéralisation et les privatisations des services publics. C’est  d’ailleurs le cas pour les autoroutes, la sncf, la poste, EDF, GDF, les barrages, les aéroports, les ports, la FDJ et l’ensemble des services publics. Lisez donc les recommandations par pays, vous verrez que le programme commun de Sarko, Hollande, Macron est directement dicté par la commission européenne. Le combat contre l’UE n’est pas secondaire il est au contraire premier :

premier car sans mettre en cause l’UE, il n’y a pas de victoire possible contre les contre réforme antiscociale, privatisation etc...

premier car c’est un facteur central d’unification de toutes les luttes particulières dans le tous ensemble et en même temps. Seul à même de faire gagner le peuple travailleur.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès