« l’augmentation des dépenses de santé, ce serait d’abord et avant tout la faute des patients ».
N’importe quoi pour masquer la vérité.
C’est un peu comme lorsque l’on prépare un repas pour cent personnes et qu’une vingtaine de pique-assiettes affamés s’introduisent sans être invités, dévorent ce qu’ils peuvent ingurgiter et fourrent dans leurs poches une partie du reste.
Accuse t on alors les invités ? Surtout quand on a commis l’imprudence de laisser les portes ouvertes à tout vent et à toute intrusion !