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En réponse à :


tobor tobor 17 juillet 2019 23:56

@Mordicul
On est plutôt d’accords sur la question.
Aussi fort et habituel fut ce qu’il fumait, il a arrêté net spontanément et effectivement le sommeil a soudain été plus dur à trouver. Il aurait sans-doute mieux valu y aller progressivement ou en compensant avec un dépaysement et une activité absorbante. Car il n’y a pas de manque physique induit, un manque psychique, certes mais selon la résolution à arrêter, c’est tout-à-fait canalisable sans apports chimiques !
La veille du 1er Temesta, une semaine après avoir arrêté 2 ans de joints intensifs, il n’avait aucun problème de mémoire (la mémoire peut être un indice mesurable de la façon dont les capacités cognitives sont altérées). L’effet amnésiant est immédiat et après 8 jours de « traitement », plus aucune notion du nombre de jours de quoi que ce soit, oubli de ce qu’il entreprenait un quart d’heure plus tôt, oubli d’où il vient et d’où il va. Dès qu’il n’y a plus les benzos, la mémoire revient petit-à petit, au fil des jours.
Puis le DHB et c’est reparti au sous-sol ! À mon avis, il faut un à deux à ? mois à entraîner sa mémoire et son esprit en général pour retrouver ses capacités !
.
Il est plus dur d’évaluer ce qu’il en aurait été s’il n’avait pas fumé/joué ainsi en terminant le lycée et en s’installant en couple pour la première fois (?)
Mais à mon sens et au vu de la situation qui s’est déroulée là, l’appellation « douce » ou « dure » qui qualifie les drogues part plutôt d’un bon discernement !


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