Bonjour, Clocel
Impossible en effet de penser Provence en omettant Christian Garcin.
Dans un genre différent, il est un autre auteur provençal pour lequel j’ai une profonde admiration : Pierre Magnan.
Lorsqu’il est décédé, sa disparition est pourtant passée inaperçue. Il est vrai que ce Manosquin — comme Giono, son modèle — a commis la funeste erreur de casser sa pipe entre les deux tours de la présidentielle de 2012. A mon modeste niveau, je lui ai rendu hommage dans un article du 28 mai 2012 : Pierre Magnan mort, la Provence est en deuil.