La seule réponse possible, c’est le comportement des consommateurs.
Paradoxalement, on arrive à la situation où ce sont les consommateurs les plus pauvres qui font les profits de cette industrie internationale du vice comme il est dit ci-dessus.
Les pauvres achètent de la merde qui a traversé les océans, quand les riches se paient des produits made in France mais hyper-taxés : il faut bien que l’État remplisse les caisses. !
Ubu Shadock n’aurait pas mieux géré le royaume !