une fois de plus, alors que les capacités de production (de ceux qui font tourner le système) excèdent largement les besoins, les prédateurs organisent la rareté et la pénurie à leur seul « profit » pour en tirer leur « rente » et assurer leur « pouvoir » — et le phénix est reconduit encore au bûcher des vanités pour rien, comme vous l’avez démontré... saura-t-il rejaillir encore de sous les cendres de notre avenir volé ?
il y a dans une certaine espèce des chenilles qui ne veulent pas devenir papillons... le « progrès » ne se réalise pour de vrai que si certains « intérêts » ne l’orientent pas à leur seul « profit » — si seulement « ils » le laissaient répondre aux exigences et nécessités véritables de l’évolution comme aux véritables besoins humains au lieu d’en attiser des faux...
si « ensemble on peut produire mieux » qu’avons-nous « produit » jusque là si ce n’est notre consentement à laisser les shylocks « produire » maladies dégénératives, conflictualités factices pénuries croissantes (énergie et eau bientôt) et malheurs ?