Penser résulte d’une réaction moléculaire activée par de l’énergie. Ce ne peut être le
fait que d’organismes vivants alimentés en énergie. La fonction “penser” disparaît donc avec les organes qui en sont le siège, par dispersion des
atomes dont ils sont composés, dès lors que l’énergie leur manque. La pensée elle-même survit par contre et, transmise, participe à la pensée de ceux qui continuent de vivre.