Tout le monde est prêt et l’était déjà à la fin de mars dans
l’éventualité où le Brexit sans accord aurait eu lieu. Faire croire au
chaos, c’est encore l’apanage des élites européistes terrorisées par ce
pays qui se libère de leur emprise.
Faudrait dire ça aux nationalistes écossais ou au Sinn Fein de l’Ulster, qui vont prendre prétexte du brexit pour remettre sur le tapis leurs volontés d’indépendance.
Mais c’est sûr que quand on est chef d’un parti à 1% des voix, on ne risque pas de se colleter soi même aux réalités, et on peut se permettre de donner des leçons sans trop risquer la contradiction.