Loin des masseuses-shampouineuses du Sentier exilées à Ajaccio le temps d’un figatelli, loin des briquets allumées de la France en carton, ici un mec qui chante.
Ne parlons pas des morts et de leurs tètes raides, parlons des vivants, du moins de ceux qui le sont encore un petit peu, comme lui, comme nous.
Mais faut faire vite quand même, parce que ca tourne vite, ce bordel...
https://www.youtube.com/watch?v=KO6mV9IcFtU