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eau-du-robinet eau-du-robinet 16 octobre 2019 04:40

@ETTORE
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Les fondateurs du CNR se sont notamment battue pour l’instauration de la sécurité sociale, la instauration d’une caisse de retraite, pour la démocratie, les divers services publics, etc.
Ce programme avait porté ses fruits durant 30 ans, la période des 30 glorieuses.
Puis est arrive M. Thatcher avec son programme ultra voire néo-libéral qui avait infecté les politiques dans le monde. En quelques années, la doctrine du néo-libéralisme s’impose comme idéologie dominante.

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Actuellement le démantèlement du programme du CNR est en phase terminale avec l’aide du TUE et le TFUE. La mise en place de la Sécurité Sociale, par les ordonnances de 1945 complétées par la loi de mai 1946 qui « instaure un régime complet de sécurité sociale avec la maladie, les accidents du travail, l’invalidité, la maternité et la vieillesse et aussi les allocations familiales », avait permis une politique de redistribution des revenus.

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Lutter contre la pauvreté, c’est se battre pour les droits de l’homme.

Bien souvent les violations des droits de l’homme ont la pauvreté à la fois pour cause et pour conséquence.

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Tous les droits humains - le droit de s’exprimer librement, de voter, mais aussi le droit à la nourriture, au travail, à la santé et au logement - sont importants pour gens aussi et surtout pour les pauvres, parce que le dénuement et l’exclusion sont intimement liés à la discrimination, l’inégalité d’accès aux ressources et aux opportunités et la stigmatisation sociale et culturelle.

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Sans droits, les pauvres ont plus de mal à accéder au marché du travail, aux services et aux ressources de base.
L’oligarchie, voire la secte des mondialistes nous privée de plus en plus de ses droits !

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Dans nombre de sociétés, les gens qui se trouvent dans des situations précaires se voient refuser le droit à l’éducation digne de ce nom, à la santé et au logement, uniquement par manque de moyens. Une telle situation restreint leur capacité à participer à la vie publique, à influer sur les politiques qui les concernent et à demander réparation en cas de tort.

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La pauvreté n’est pas seulement une insuffisance de revenus et de biens matériels, c’est aussi un manque de recours, d’opportunités et de sécurité qui sape la dignité et exacerbe la vulnérabilité des individus.

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C’est aussi une question de pouvoir : qui le possède et qui le subit, dans la vie publique ou au sein de la famille ? Pénétrer le réseau complexe des relations de pouvoir dans les sphères poli­tique, économique et sociale est essentiel si l’on veut comprendre des habitudes profon­dément enra­cinées et si l’on veut s’attaquer aux schémas mêmes de la ­dis­crimination, de l’iné­­ga­lité et de l’exclusion qui ­condamnent des générations d’individus, des communautés, des populations entières à la pauvreté.

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Il faut combattre la mondialisation !

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Or, la pauvreté est souvent comprise comme une condition regrettable mais purement accidentelle ou comme la conséquence inévitable de décisions et d’événements lointains, voire comme la seule responsabilité de ceux qui la subissent.

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Pour mettre le peuple, voire l’intérêt général, au cœur d’une politique future nous devons instaurer le véritable RIC ainsi une véritable démocratie ou les hommes politiques devront rendre compte de leurs actes.


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