@nono le simplet
La tolérance,
vis-à-vis de cette pratique du voile, quel qu’il soit, est coupable. Le voile n’est pas qu’un
tissu, court ou long, peu importe que la secte des islamistes appelle
ça burqa, peu importe que la secte juive des Haredim appelle ça
frumka, l’important, c’est de le combattre en engageant un bras de
fer politique contre les femmes qui le portent, mais aussi contre les
hommes qui en font l’apologie. Quant aux féministes qui voudraient
le normaliser, il faut les contredire encore et toujours. Un voile,
même façonné par Hermès, est un symbole d’infériorité.
Les médias ne
cessent de faire passer les islamistes pour des opprimés. Les
islamistes choisissent eux-mêmes de pratiquer leur religion d’une
manière inédite en France, d’une manière qu’il faut cesser de
qualifier d’orthodoxe, et qu’il faut appeler par son nom :
radicale. Les musulmans ne sont pas stigmatisés. La pratique
rigoriste et sectaire d’une minorité d’entre eux est pointée du
doigt, et légitimement. On ne doit pas confondre un culte et sa
dérive sectaire, pas plus qu’on ne peut confondre des pratiquants
avec des militants politiques. Et jusqu’à présent, dans notre
régime républicain stipendié comme liberticide, c’est l’islamisme
qui a tué, écrasé, mitraillé et égorgé. Pas l’islamophobie.