La route de la soie avait déjà fait l’objet d’un enjeu décisif quand les Turcs seldjoukides avaient décidé d’en prendre le contrôle par la voie terrestre des caravanes en construisant de magnifiques caravansérails en Perse et en Anatolie, mais surtout en taxant les riches marchands vénitiens et génois qui ont financé les croisades pour s’en débarrasser et armé des navires pour ouvrir une voie maritime par l’ouest. L’existence d’un continent en plein milieu de la route a un peu modifié les plans, mais les descendants des « conquérants » exterminateurs hispaniques puis brittons ont décidé de reprendre le flambeau et de couillonner les descendants des Seldjoukides.
On n’en sort pas.
En tous cas, merci pour cette analyse qui montre qu’on peut être pertinent sans psalmodier de litanies sur le prolétariat.