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En réponse à :


docdory docdory 18 novembre 2019 15:00

Le problème est que, dans un état de droit, les juges ont besoin de preuves tangibles pour étayer une accusation. 

44 ans après les faits, il n’y a évidemment plus aucune preuve ADN, plus aucune trace d’éventuels coups ni probablement aucun témoignage fiable.

C’est donc la parole de l’un contre la parole de l’autre.

C’est bien pour ça qu’il y a quelque chose qui s’appelle la prescription.

Donc, l’accusatrice aurait été bien inspirée de déposer plainte il y a 44 ans.

En effet, une accusation non prouvable portée 44 ans après les faits allégués peut éventuellement faire l’objet d’une contre-attaque très efficace qui est la plainte en dénonciation calomnieuse.

 Il est par ailleurs inadmissible que des groupes féministes s’octroient le droit d’empêcher des spectateurs d’entrer dans une salle de cinéma, comme cela s’est produit ces jours-ci. En effet, une quantité importante des œuvres d’art ou des œuvres intellectuelles produites dans l’histoire de l’humanité l’ont été par des gens peu recommandables en dehors de leur talent artistique. On imagine le travail gigantesque d’une éventuelle commission de censure féministe aux ordres de me-too...


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