Que serions-nous sans la poésie du bonimenteur ?
.
Certains donnent dans la facilité racoleuse. C’est Nabum nous régale d’une plume raffinée sans être précieuse et, comme disait Guy Bedos, “Poète je vis, poète je meurs Mais comme l’affirme l’ironique littérateur : N’en jetez plus Il ne faut pas poéter plus haut que son cul.”
.
Enfin, pour citer Juluch : « merci Nabum »