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Captain Marlo Fifi Brind_acier 11 décembre 2019 19:22

@capobianco
Trop fort pour posséder autant d’infos (anti cgt) et capable de les diffuser en un claquement de doigts.

Si vous suiviez l’actualité de l’ UPR, vous sauriez que depuis 2012, l’ UPR dénonce l’affiliation des syndicats à la Confédération européenne des syndicats.
« Les escrocs de la CES. »
.
Rien de nouveau sous le soleil, le PRCF dénonce la même chose.
Ou bien le Mouvement pour la Démondialisation.
Evidemment, la Gauche européistes est muette sur ces sujets. Et quand nous mettons des documents en lien depuis des années, vous ne les lisez pas, comment voulez vous être informé ? .


Dire que « l’UE est chérie par l’ UPR », qui veut en sortir, c’est assez croquignolesque de votre part, qui êtes accroché à l’ UE comme une moule au rocher !
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L’UPR ne cesse de dire que Macron n’est que l’exécutant des décisions prises ailleurs. Ce que vous dissimulez sans cesse. Les deux sont responsables, mais l’ UE plus que Macron, qui n’est pas Jupiter, mais un petit gouverneur de la province France.
.
PS : si vous ne savez pas vous servir d’Internet pour faire des recherches, dommage pour vous, vous y trouveriez les mêmes informations que moi, sur l’argent des syndicats. Vous devez avoir oublié, mais il y eu aussi le scandale de l’ UIMM.
Denis Gautier-Sauvagnac, l’ex-patron de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie, a confirmé l’identité des bénéficiaires des fonds.

"L’ancien patron de l’UIMM, Denis Gautier-Sauvagnac, a confirmé lundi au tribunal correctionnel de Paris que les syndicats étaient bien les bénéficiaires des enveloppes d’argent liquide de la puissante fédération patronale de la métallurgie. La justice s’interroge sur la destination de quelque 16 millions d’euros retirés en liquide entre 2000 et 2007 des caisses de l’Entraide professionnelle des industries et des métaux (Epim), une structure de l’UIMM destinée à apporter « un appui moral et matériel » à ses adhérents subissant un conflit du travail.

(...)

Il a précisé que ces aides se présentaient sous deux formes. La première, sous forme de chèques, "concernait des achats d’espaces publicitaires à prix d’or ou des locations de stands, également à prix d’or, ou encore par l’achat de journaux syndicaux", a énuméré l’ancien patron en précisant qu’il s’agissait là en réalité "d’une façon d’habiller les contributions« de sa fédération. »Mais, cela n’était pas suffisant, c’était un prétexte qui avait ses limites", a-t-il poursuivi en expliquant que le reste des aides étaient données « en liquide » de façon « plus discrète »....



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