@Yaurrick
C’est malheureusement un raisonnement simpliste.
Les entreprises empruntent toujours plus la voie du libéralisme violent consistant à râcler les fonds de tiroir, à sous-payer pour tout donner à l’actionnaire. Tout en demandant le maximum à l’employé/futur recruté.
Le code du travail n’est pas si « rigide » après tout, sauf par exemple dans ma situation. Mais à vrai dire, les entreprises déconnent tellement (petites et grandes) qu’ils ont dû, par exemple, serrer la vis à propos des stages — ce qui signifient que les chômeurs ne peuvent obtenir d’expérience car « pas étudiants », avec les conséquences qui vont avec (inactivité, toujours plus marginalisés et loin de l’emploi).