@Gérard Luçon
Comme quoi les preneurs d’otage de la tyrannie des grévistes font plus attention à l’orthographe et peuvent être aveugles et en déni à la persécution de leurs victimes...
Vous n’écrivez toujours pas un petit mot pour les victimes ?
Les licenciés, les stressés, les désabusés, les commerçants en faillite, les personnes embouteillés, les pertes de salaires, les pertes de pouvoir d’achat, de revenus, d’emplois, de contrats, les dépenses contraintes, les temps perdus, les avions ratés, les contrats manqués la destruction globale des conditions de vie des autres pour retreint d’une minorité doctrinaire ?
Vous ne savez à priori prendre conscience de la réalité.