"Dans son intervention, le pape François ne trouve pas nécessaire de
rappeler aux puissances mondiales l’importance de respecter ce droit
fondamental des peuples à disposer de leur propre destin. Seule,
l’ONU, a ce pouvoir d’apprécier et de décider de toute intervention
dans un autre pays. Aucune puissance mondiale dispose de ce droit qui
s’applique tout autant aux États-Unis qu’à tous ceux qui seraient tentés
d’en faire tout autant."
"Je trouve malheureux le fait que le pape François n’ait pas accordé,
dans cette déclaration, tout son appui à l’ONU et à sa Charte des
droits. "
Les instances de Bruxelles interviennent tous les jours dans les affaires des peuples européens sans leur consentement, et interdisent aux peuples de disposer de leur propre destin.
L’UE n’a-t-elle pas condamné la Hongrie, parce qu’elle refusait de recevoir un quota de migrants ? Qui décide ? A-t-on demandé l’avis du peuple ?
Non que je sache. Que fait l’ONU dans ce cas d’interventionnisme ? A-t-elle protesté ? Non.
Pourquoi le Pape devrait-il prendre alors la défense de l’ONU, qui ne garantit pas la liberté des peuples ?