Le Conseil national de la Résistance (CNR) est
l’organisme qui dirige et coordonne les différents mouvements de la
Résistance
intérieure française pendant la Seconde
Guerre mondiale, toutes tendances politiques comprises. Le
conseil est composé de représentants de la presse, des syndicats et
des membres de partis politiques hostiles au gouvernement
de Vichy à partir de la mi-1943.
Son programme,
adopté en mars 1944, prévoit un « plan d’action immédiat »
(c’est-à-dire des actions de résistance), mais aussi des « mesures
à appliquer dès la libération
du territoire », une liste de réformes sociales et
économiques.
Jusque là, et
depuis lors, les générations dites progressistes, maintenaient les
avancées sociales pour les faire perdurer afin que les générations
futures puissent en bénéficier.
Aujourd’hui, quel
désespoir ! A voir l’ineptie des syndicats lycéens et
étudiants qui se débinent au lieu de rejoindre les rangs de leurs
parents qui se battent pour eux. Lisent-ils ne serait-ce que les
informations les concernant ? Ce sont les premiers visés par
cette mascarade de ce mépris libéral gouvernemental ; ils pourraient alors s’apercevoir
que les syndicats de salarié(e)s refusent toutes les miettes que
leur propose le gouvernement pour leur faire avaler des sabres sur la
retraite universelle notamment la faire supporter aux générations
futures en la reportant tout d’abord par son entrée en vigueur en
2025 puis 2032.
De fait, la génération concernée n’a plus aucune reconnaissance
envers ses parents et s’en bat royalement le coquillard
A croire que l’individualisme
prôné par l’ultralibéralisme est arrivé à ses fins. Cest lamentable !
Bravo les syndicats
de lycéens et d’étudiants. La fidl et l’unef sont devenues
aphones ?
Mettre les saletés sous le tapis en faisant culpabiliser les vieux sur le dérèglement climatique. Ne nous trompons pas de débat ! A ce que je sache la déforestation, les centrales aux charbons américaines et chinoises les plus gros pollueurs de la planète ne sont pas gérées par les citoyens. A méditer et à adresser aux jeunes, pour qu’ils se sortent les doigts du cul.