@gaijin
les relations d’un pervers avec sa victime sont loin d’être simples
Certaines relations sont effectivement très complexes, le cas récent de Springora avec Matzneff le montre bien. Elle était amoureuse de l’écrivain et le désirait, mais elle était bouffée par un sentiment de culpabilité, ayant conscience d’être dans une situation d’ « immense transgression ». Apparemment, Haenel aussi avait cette conscience de ce qui est transgressif, puisqu’elle dit avoir résisté à Ruggia pour la raison suivante : « Ce qui m’a sauvée, c’est que je sentais que ce n’était pas bien ».