@laertes
« du plus médiocre encore Schubert »
On
sent l’intellectuel, l’analyste qui parle de Musique comme on traite de la Bourse.
Il
y a d’autres approches, en particulier celles du cœur et de la mémoire inconsciente.
Qu’est-ce
qui reste après 30 ans, 50 ans et qui revient sans cesse à la conscience, sans
crier gare ?
Pour
moi c’est une Fantaisie de Schubert pour piano à quatre mains (D940), plus que
n’importe quelle sonate pour piano de Beethoven.
Mon
cerveau est peut-être « médiocre », comme Schubert, mais c’est une
médiocrité bien aimable.