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En réponse à :


Captain Marlo Captain Marlo 29 janvier 2020 09:11

@capobianco
Principales cibles la FI (mais surtout JLM, ), les syndicats (surtout la cgt) et tous les moyens sont bons à ce que je lis depuis plusieurs années sur avox. C’est sans doute ce qui vous différencie des autres partis (npa, lo...) qui participent souvent aux actions communes

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Désolée de vous décevoir, mais je ne suis pas Corinne Masiéro ! L’UPR aussi, participe aux manifestations, et les adhérents UPR, syndiqués ou pas, manifestent aussi.
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L’UPR ne critique pas spécialement la FI, mais tous les Partis politiques pro-européens, qui promettent de « réformer l’ Europe », alors qu’elle n’est pas réformable. Et nous ne sommes pas les seuls de cet avis !
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Voici ce qu’explique un ancien Député de Syriza :
« L’ Union européenne n’est pas réformable »

"De plus en plus de forces de Gauche comprennent que l’UE n’est pas réformable dans un sens progressiste, avec un fonctionnement plus démocratique, parce qu’elle est conçue, dans son architecture intrinsèque, pour ne pas être réformable.

Tout est verrouillé et, pour enseigner dans un département d’études européennes, je peux vous assurer que mes collègues spécialistes le savent. L’UE n’a pas été conçue pour fonctionner avec les règles de la démocratie parlementaire, dont on craint toujours la tentation populiste...

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Mais aussi la Gauche radicale portugaise, l’auteur fait exactement la même analyse que l’ UPR !

"(...) je dirai très fermement non, on ne peut pas se débarrasser de l’austérité en agissant dans le cadre des institutions européennes, car les traités européens – Traité de Maastricht, Pacte de Stabilité et à un degré supérieur dans l’escalade, le TSCG –, en soumettant les politiques publiques des pays à l’atteinte d’objectifs financiers de déficit et de dette, ont figé l’austérité en lui donnant un caractère perpétuel.

Si un Etat veut procéder à des investissements et que leur financement met en cause le respect du ratio dette publique/PIB, il ne pourra le faire sans enfreindre les traités et s’exposer à des sanctions.

De même, la décision d’embauche de nouveaux fonctionnaires, en pesant sur les dépenses publiques, se heurte sans cesse à l’obligation de respecter la barrière des 3 % de déficit public et ce d’autant plus que l’on sera en période de crise ou de faible croissance, caractérisées par la chute des recettes fiscales…


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