@Trelawney —
Mais comment peut-on dire que l’anglais n’est pas une « langue étrangère », alors que cette langue est portée par l’impérialisme
anglo-américain, l’impérialisme de la première puissance militaire et
d’espionnage du monde ? Une langue, de surcroît, qui véhicule les valeurs de la
finance de Wall Street et de la City, celles de l’ultralibéralisme et du
libre-échangisme mondial, celles des GAFAM et Cie qui veulent gouverner le
monde ?
L’anglo-américain, le globiche, est ainsi devenu la
langue de la globalisation, la langue du compactage humain, celle qui a pour but de détruire le
citoyen pour qu’il ne soit plus qu’un simple consommateur, une langue qui n’est
plus internationale puisqu’elle tend à tuer les nations, une langue dont il
faut combattre l’impérialisme et l’hégémonie jusqu’au dernier souffle de notre
énergie.