@sylvain. Les violences et criminalités familiales et conjugales sont faciles à réprimer quand elles sont masculines : impulsives, improvisées, inorganisées, elles ont tout le Féministan médiatique et tout le Féministan judiciaire contre elles.
Alors que les criminalités conjugales féminines sont froidement organisées, et sont appuyées par une criminalité judiciaire bien organisée.
La façon dont les statistiques gouvernementales sont truandées s’en ressent.
La propagande féminazie au gouvernement.