@alinea
Pas si sûr qu’une telle proportion de français soient prêts à lâcher leur biberon pour vous rejoindre sur les ronds-points.
Mais vous me savez pendu à vos lèvres plus qu’à vos seins (si p’tit âne rapplique pas, je me fais curé) et je lâche 2 minutes mon sécateur pour une question que tout le monde semble avoir oubliée.
Du temps glorieux des débuts du nucléaire (j’étais jeune), on nous vantait les retombées civiles. Volontarisme, voeu pieu, méthode Coué, hypocrisie, réalité ?
Nous sommes arrivés peu après à maturité, pour constater que dans bien des secteurs ça ne marchait pas. Ainsi, les téléphones portables sont plus le fruit du marché de masse que d’une industrie de l’armement où le prix ne compte quasiment pas.
La France était la maîtresse de De Gaulle, et l’arme atomique, garante de son indépendance en politique, était sentimentalement la punition qu’aurait reçue celui qui lui manquait de respect.
C’était l’ode d’Ulysse à Pénélope. Hélas, un certain François est passé par là.