Très juste, il n’y a qu’à regarder l’augmentation des attaques violentes au cours des dernières années. Le fond du problème, dans les médias on valorise systématiquement, ne serait-ce qu’en en parlant, celui qui « est en colère », qui se plaint sans chercher à réfléchir sur le bien fondé de cette colère ou plainte alors que l’on ne parle pas du commerçant qui ne se plaint pas de voir sa boutique taguée. L’émotion avant tout, la réflexion ne fait pas d’audimat (paraît-il).