@Christian
L’ignorance dans laquelle nous sommes des « maudites questions éternelles » comme disait Dostoïevsky ; ce que nous sommes, d’où nous venons, le sens de la vie...et la prise de conscience qu’on est ignorant, ce qui est plutôt rare ( « Le bon sens est au monde la mieux partagée car chacun s’imagine en être suffisamment pourvu. » Premières lignes du « Discours de la Méthode ») est indispensable pour s’interroger sur notre étrange condition. Le questionnement est un moteur pour avancer.
Le « Connais-toi, toi-même » de Socrate convoque fortement cette exigence de s’interroger .