@njama
L’important était de trouver un point faible, quitte à l’inventer. Il y fallait de l’audace, voire du culot, devant un médicament déjà produit à un milliard de boites en 70 ans.
Parce qu’un traitement antiviral efficace, c’est la mort programmé du vaccin, qu’il soit actuel ou futur.
Et sans vaccin mondial imposé, pas de puçage universel possible.
Etc... etc...
Il me semble que le raisonnement ne manque pas de cohérence, et je suis bêtement très attaché à la cohérence.
Njama, je te salue comme un frère d’armes, en ces temps de trahison de tout ce qui nous est cher.