Les traitements ont été choisis selon les recommandations de l’OMS, sur les médicaments qu’elle considérait comme prioritaires
: le fait que l’OMS soit contre l’utilisation de l’artemisia annua contre la malaria (détails ici par exemple) suffit largement pour la disqualifier.
Ce n’est pas l’OMS ou ses dirigeants qui subissent directement les conséquences de leur choix, ce sont les pays et leurs habitants.