Argh ! voilà que l’on juge les candidats à leurs mimiques sur les photos de Paris Match... sensées réveler l’inconscient tapi comme un monstre dans l’ombre d’une cavité psychanalytique. Honnêtement, peu m’importe Nicolas Sarkozy, mais ne sombrons pas dans une analyse politique qui prendrait ses fondements chez Freud. Le ton grossier du début de l’article (avec l’allusion au « noeud ») est digne d’un commissariat de quartier. Peu de faits beaucoup d’opinions non fondées...