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@sound of Prenons le cas extrême d’Hitler. Pour avoir un minimum d’estime pour lui-même il était obligé de cliver sa personnalité. Acclamé par une foule hystérique, il pouvait se glorifier d’être un « être exceptionnel », ce qui augmentait encore son narcissisme et encourageait son désir de puissance. Mais cette puissance se payait d’un déni : la mort de millions de personnes. A chaque échec, la dépression sous-jacente le guettait. Une personne mauvaise. Encore faut-il s’entendre sur le mot. Quand une mère dit a son enfant : aujourd’hui je ne suis pas disponible, occupe-toi sans moi, elle n’est pas mauvaise,...Sujet très complexe. 


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