@Géronimo howakhan
rien ne marche donc je supprime le corps
Oui, c’est comme ça que Camus décrit le « suicide existentiel », tout en le rejetant logiquement puisque revenant à supprimer la seule chose qui existe vraiment pour nous, notre sentiment de l’absurde.
or il y a juste « je souffre » un élément
Le disciple du Bouddha vous répondrait que ce « je » est encore de trop et qu’il n’y a en fait aucun élément, juste une situation
Merci pour ces réflexions en tout cas qui nous élèvent un peu au-dessus de la polémique sur l’hydroxychloroquine et les courbes en cloche. Force et honneur !