@Odin
"Concernant Sutton, pourriez-vous nous indiquer les procès en diffamation
et révisionnisme pour l’utilisation de faux documents pour étayer son travail
d’historien.«
Concernant Sutton, je répète que je ne me mêle pas d’antisémitisme. Je me fiche de ce qu’il a écrit. Quant à lire des abominations antisémites, je préfèrerai lire Mein Kampf.
»Je vous donne même une famille
entière... le tsar et toute la famille."
Avec vous, il n’y a pas de surprise. Décidément, il faut que je répète toujours la même chose les larbins des puissants ont toujours les mêmes arguments. Si vous lisiez mes réponses précédentes vous éviteriez les répétitions.
Vous confondez la personne de Trotski et le trotskisme. Le trotskisme ne commence qu’après la mort de Lénine quand Trotski s’oppose à Staline. Je répète donc :
« Les trotskistes n’ont jamais fouetté le moindre chat.
Personne n’est en mesure de citer un seul nom d’un individu qui aurait eu à
pâtir de l’action des trotskistes »
Maintenant je connais aussi les arguments des larbins en matière de révolutions. Voici ce que je viens d’écrire :
Je sais bien où vous voulez nous emmener. Avant qu’existe le
trotskisme il y a eu une guerre « civile » en Russie qui était aussi une
guerre contre toutes les puissances européennes. Bien évidemment aucune
ne soutenait les rouges. Cette guerre, comme toute les guerres a été
ponctuée d’atrocités. Le jeu qui consiste à décrire les atrocités du camp
adverse pour lui faire porter la responsabilité de tout et en imaginant
quelles sont les pires de toutes est sans fin. C’est pourquoi je
n’entre pas dans ce jeu.
Je ferai cependant une remarque qui s’applique à toutes les
révolutions. Si les nantis et autres privilégiés qui se font sortir par
des révolutions disaient : « Oui finalement, il y avait beaucoup
d’injustice dans notre façon de gérer le pays. Nous comprenons que vous
vous soyez révolté. On ne vous en veut pas. Au revoir et bonne route »
alors il n’y aurait aucune atrocité, aucune guerre civile, aucun mort.
Mais ce n’est pas ainsi que ça se passe. Ils sont teigneux les
revanchards
Quand ils gagnent nous savons ce qui se passe (Commune de Paris...). Quand ils perdent, ils pleurnichent.
Il y aussi une autre constante en matière de répression. C’est le fameux : « trois européens horriblement massacrés. Répression : 30 000 indigènes tués ». Il y a toujours chez les larbins une valeur qualitative plus que quantitative dans la notion de massacre. Osez toucher à l’aristocratie ! Quelle barbarie ! Les milliers de pères, mères et d’enfants tués par les armées blanches ne comptent guère au regard de ce scandale qui ajoute le crime de lèse majesté à tout ce qu’il y a déjà d’abominable.